Questions fréquemment posées
Que réclame l'association "Pour un retour de Philippe François" ?
Que la santé et la sécurité de Philippe soient préservées.
Conditions de détention inhumaines, prison surpeuplée et sous-encadrée nous inquiètent fortement et la seule façon de protéger Philippe est de le transférer rapidement en France.
Quelle sont les conditions de détention de Philippe François ?
Philippe est incarcéré depuis son arrestation à la maison de force de Tsifahy, "l'enfer carcéral" selon Amnesty International.
Après 5 premiers mois à l'isolement complet qui l'ont considérablement affaibli (il a perdu plus de 20 kilos), il est maintenant autorisé à faire des "promenades" et de l'exercice physique. Mais ces conditions restent extrêmement dures par rapport aux critères d'humanité que l'on est en droit d'attendre (une cellule de 3 m par 3 sans éclairage, un seau comme cuvette de WC, un autre pour douche).
Il reçoit - à ses frais - eau et nourriture de l'extérieur et en achète au-delà de sa seule consommation pour s'attirer les bonnes grâces de ses co-détenus et ainsi préserver sa sécurité.
Pourquoi n'évoquez-vous pas Paul Maillot ?
Bien qu'issus de la même école (Saint-Cyr), Philippe François et Paul Maillot ne se sont rencontrés pour la 1ère fois qu'en décembre 2020 : leurs histoires sont différentes.
Et leurs projets au moment de l'arrestation, également : Philippe rentrait définitivement en France, Paul Maillot, franco-malgache, était investi dans la vie politique malgache (source : soutenir-paul.com).
L'association "Pour un retour de Philippe François" ne s'exprime qu'au nom de Philippe François et de sa famille.
Philippe François, "barbouze" ?
Une "barbouze" est membre d'une organisation, agissant secrètement pour le compte d'un gouvernement.
L'acte d'accusation de Philippe François n'a jamais fait mention d'une telle appartenance.